*Benoît JEANSON*
Né le 30 novembre 1953 à La Bosse
Décédé le 3 mai 2023 à Noyal Châtillon sur Seiche
Né le 30 novembre 1953 à La Bosse
Décédé le 3 mai 2023 à Noyal Châtillon sur Seiche
Noyal-Châtillon-sur-Seiche, Bruz, Chartres-de-Bretagne, Port-Louis, Locmiquélic, Brest, Guidel, Saint-Lunaire, Rennes, Liffré, Riantec, Cesson-Sévigné
Sylvie et ses amis proches ont la douleur de vous faire part du décès de
Benoît JEANSON
à l’âge de 69 ans.
Les obsèques seront célébrées mercredi 10 mai 2023, à 10 h 30, au crématorium de Vern-sur-Seiche
Benoît repose au salon Funéraire 15 rue du Champs Martin, à Vern sur Seiche. Visites possibles de 14h à 18h.
Fleurs non souhaitées, préférence pour des dons à la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux).
Le jour de la cérémonie vous êtes invités à amener des photos en souvenir de Benoît.
Sylvie remercie par avance toutes les personnes qui prendront part à sa peine.
Vous trouverez également ici les magnifiques textes et hommages entendus durant la cérémonie.
N’hésitez pas à nous contacter pour davantage d’informations au 07 63 63 55 25.
Bibi était un personnage qui pouvait surprendre au premier abord avec sa franchise et son langage
cash, que j’ai découverts en embarquant sur le bateau d’Eric en 1998. Depuis j’ai pu apprécier sa
convivialité et ses compétences nautiques mais aussi culinaires et œnologiques à bord de Morgane,
Ovento, Pesk’Ebrel, Brizhilli… sans oublier des talents de mécanicien, souvent sollicités…
A terre il partageait volontiers d’autres passions : les oiseaux, les chats, la géologie, les
champignons,…
Malheureusement son rêve de navigations lointaines s’est brisé après avoir été mis sur pied
patiemment et avec pugnacité face à l’adversité mais il a, dès lors, assouvi ses envies de voyage en
roulant plutôt qu’en naviguant.
Le prochain voyage n’aura pas lieu…
Bibi restera pour moi quelqu’un de passionné et passionnant et je partage la peine de tous ses
proches, en particulier Chantal et Sylvie.
—————————————————————————————————————————————————————————————-
BENOIT
Tu étais un volcan en perpétuelle activité. Tes éruptions paroxystiques généraient des tsunamis, chargés d’une telle énergie, qu’ils bousculaient les habitudes, gommaient la médiocrité et te faisaient sortir de cet enfer d’eau sale que peut parfois être le monde.
Tu étais une vague déferlante qui voulait m’emporter sur ton dos, me faire traverser le monde d’Est en Ouest et du Nord au Sud. En bateau, Morgane puis Brizhilli, en camping-car, VW blanc, T5, puis SVEN HEDIN, tu m’as emmenée dans des contrées, dans des pays que je n’aurais jamais découverts. Tu m’as ouvert les yeux sur des réalités à côté desquelles je serais passée. Tu m’as fait crapahuter en montagne, tu m’as fait nager aux Açores, tu m’as fait trembler de peur dans la Frise de Hollande, tu m’as laissée au Groenland. Tu m’as appris la liberté.
Tes yeux étaient toujours en quête de nouveaux horizons. Tu abhorrais l’immobilité et la routine. Tu dévorais la vie à pleines dents et trouvais mon appétit trop modeste. Tous les territoires étaient à conquérir. Rien ne pouvait, ni ne devait t’arrêter. Et tout cela à 100 à l’heure. Il fallait être arrivés avant d’être partis.
Tu m’as fait connaître des gens merveilleux, tes amis qui sont devenus mes amis. Ces amis étaient ta communauté. Tu les aimais mais n’avais pas peur de les bousculer, certain de leur affection.
Rien ne résistait à tes doigts d’or. Tu étais un génie et aimais à aider toute personne qui te sollicitait. Ta générosité était là sans limite.
Tu étais Brad Pitt qui, en plissant les yeux, donne la réplique à John Malkovich dans le film « Burn after reading » : OSBOURNE COX ? Tu étais Johnny Depp dans « Pirates des Caraïbes ». Tu étais Sean Connery dans « James Bond » et bien sûr tu étais bien sûr Zorro.
Tu as décidé de prendre le large au moment où je voulais m’arrêter. Tu me laisses sur le quai.
Es-tu parti sur l’astéroïde B 612 rejoindre notre Jowayne ?
Sylvie
Chere Sylvie
Chers amis de Benoît
Au nom des 150 adhérents de la Maison d’Helene, et de son Bureau, le Président de l’Association tenait à témoigner, en cette triste matinée, du souvenier que laissera Benoit dans nos mémoires et surtout dans nos cœurs.
Dans le village de Vancé, nul ne connaissait Benoît avant que le nouveau maire ne lance l’idée de créer une sorte de maison pour tous, susceptible de recréer du lien social dans une contrée bien déshéritée sur ce plan là.
Il fallait un local. Par un heureux hasard, une maison se trouva à vendre au centre du village. Sans même l’avoir visitée, mais certainement séduit par le projet de son ami de toujours, Hubert, il l’acheta, et la mis à disposition de l’ Association.
Très vite la rumeur enfla dans le village : Mais qui était donc ce Benoît ; Un investisseur ? UN fou ? un mécène ?
Tres vite il fallut se rendre à l’évidence : Benoit était tout simplement un homme qui aimait utiliser les moyens dont il disposait pour permettre à un projet qui avait du sens à ses yeux, de voire le jour.
Non content d’avoir acheté la maison, il décida d’abandonner le loyer prévu au bail, afin, tenez vous bien, d’accélérer le déploiement de l’Association grâce à des investisements qu’elle n’aurait , sans lui, pu réaliser que plusieurs années plus tard
Car oui, vraiment, il nous a fait confiance.Et à chacune de ses visites, il tenait à mesurer le bien que la Maison d’Hélenne faisait à Vancé
Il fut donc notre bienfaiteur, notre conseil, et, quelque part, l’un des deux pères fondateurs de l’Association. Car une chose est sure : Sans lui, la Maison d’Helene n’aurait jamais existé.
Benoît n’appréciait guerre le pathos. Il était bien trop pudique et peut-être secret pour cela. Pour autant, et en m’excusant auprès de lui d’évoquer publiquement son intimité, je me permets tout de même de dire, ce que tout le monde sait d’aileurs : Benoït avait un très grand cœur et par surcroit, une très belle âme.
Merci donc à toi , cher Benoit, de nous avoir permis d’exister, sans exiger la moindre contrepartie. Sois assuré que les porteurs du projet que tu as aimé et soutenu veilleront à rester fidèles à l’esprit de générosité dans lequel il est né.ET, si Sylvie et Chantal en sont d’accord, la Maison d’Hélène pourrait devenir « La Maison d’Hélene et de Benoît »
Benoît (ou plutôt Bibi)
Pour Clémence et moi tu faisais partie de notre famille… Grognon comme un ourson, nous t’adorons.. 🙂 !
Nous gardons un souvenir inoubliable de notre 1er voyage sur Luskell vers les Îles Scilly du haut de nos 10 ans avec Papa et maman…Les phoques, les macareux, nos vareuses colorés et cette merveilleuse éclipse…
Les pétasses, comme tu adorais nous apeller, ne t’oublieront jamais.
Nous parlerons de toi à nos petites Choupette (Romy et Mia), promis.
Merci d’avoir fait partie de notre vie.
Bon vent ! ⛵
On t’aime très fort.
Marc, Martine, Pauline et Clémence.
Le Paradis ? Même pour ceux qui y croient ce devrait être quelque chose comme
cela : rien d’autre que cette terre, rien qu’un de ces lieux où des liens se sont formés,
et des habitudes, avec des retours et leurs exclamations et leurs rires, avec des
conversations tard le soir, dans le temps devenu cette heure nocturne qui veut bien
pourtant ne pas être encore celle des séparations, du sommeil.
Où vont ceux qui nous favorisaient de leur amitié, une fois qu’ils nous ont quittés ?
Nullement dans le sol aveugle, sous une dalle, mais dans l’épaisseur des feuillages,
dans la brillance des eaux. Et c’est à nous, abeilles encore, de butiner dans l’éternel ici,
pour le miel, ce bien qu’ils font mûrir dans la grappe du monde, sinon amère.
Yves BONNEFOY
Michel en ce jardin
in : « Dans un débris de miroir », Paris, Galilée, 2006.
Benoît, je t’écris pour la dernière fois et si je ne suis pas là pour te lire ces mots, c’est peut-être parce
que je n’aurais pas eu le courage de le faire devant cette assemblée réunie, celle de tous ceux que tu
as chéris et qui sont là pour te rendre un dernier hommage.
C’est aussi parce que je veux garder de toi cette image d’enfant émerveillé regardant les façades de
l’hôtel de ville de Rennes où nous nous sommes embrassés pour la dernière fois. J’étais loin de me
douter que cette nouvelle année que nous avions entamée en ta compagnie et en celle de Sylvie,
serait aussi la dernière fois que je te verrais vivant. J’aurais tellement aimé que tu goûtes l’huile de
homard rapporté de Groix pour toi.
Benoît Jeanson, tu mets un terme à 20 ans d’amitié et je t’en veux pour tous ces moments à venir que
tu nous dérobes aujoud’hui et j’aimerais que tu m’engueules encore comme tu savais si bien le faire :
« alors ma belle ! Tu n’es pas venue me voir ! T’as bien fait car je ne voulais pas que tu me voies
dans cet état ! Et puis tu sais, la nuit passée à côté de mon chat a été baignée par la lune et si le
chant des oiseaux ne m’a pas réveillé ce mercredi 3 mai, c’est que j’en avais décidé ainsi : j’ai voulu
rester le « maître de mon destin, le capitaine de mon âme » comme dit le poète.
Tu m’as toujours inspiré des vers Benoît. En plus de ceux que tu aimais boire, ton énergie vitale m’a
contaminée à des moments où j’avais le temps de penser à toi.
Ainsi de la première « comptine pour Benoît » (rédigée d’une traite dans un TGV pour Paris) : de
petites rimes pour accompagner une conserve de boeuf bourguignon spécialement confectionnée
pour une de tes navigations mais loin d’être « parfaite », le couvercle avait dû s’entrouvrir et tu t’en
étais gentiment moqué en le jetant à la flotte. Je n’avais pas eu honte de te dire que c’était pour te
faire passer la pilule que je t’avais composé ces quelques vers naïfs et c’est à nouveau la joie que
j’avais ressentie à t’entendre commenter l’incident.
Pour tes 66, j’ai été à nouveau inspirée par une charade qui te ferait deviner le cadeau des copains en
« gyrocoptère ». Enfin, il reste dans notre bateau ce petit mot que j’ai dessiné : « recette de l’irish
coffee façon Jeanson ». Ta manière de fabriquer cet alcool qui réchauffe le coeur en mer lorsqu’on a
froid restera à jamais à bord et je te promets de le boire en pensant toujours à toi.
Si je résume (et combien ici repensent à ce pan de leur vie qui s’éteint avec toi !) tu symbolises
l’humour et la joie du partage en toutes circonstances. Je ne m’étonne pas que tu ne sois pas là
aujourd’hui : comment partager la tristesse ?
Ça tu ne savais pas le faire avec tes ami(e)s et nous t’en remercions tous ici présents.
Je te remercie de me permettre de me souvenir de toi dans la joie et de me faire sourire : grâce à toi,
je me nourrirai de tous ces moments de vie heureux construits ensemble. Faire bonne chère tu as
toujours su le faire ! Tu resteras dans ma mémoire comme un exemple de vitalité insupportable
qui nous pousse à nous battre et à nous relever dans n’importe quelles circonstances.
Mercredi dernier tu ne t’es pas relevé et nous devons continuer sans toi.
J’ai hâte que tu viennes m’engueuler dans mes rêves les jours où le moral foutra le camp…
Allez Benoît, pour te dire adieu voici quelques vers (encore!) de circonstances car ta mort en ce
pluvieux mois de mai a réveillé un texte de Guillaume Apollinaire que j’aime particulièrement : il
me parle aujourd’hui à ta place, et sois-en sûr, il me parle de toi . Il est extrait du recueil
« Alcools » ; Hannah a bien voulu le lire pour moi et je l’en remercie
Le mai le joli mai en barque sur le Rhin
Des dames regardaient du haut de la montagne
Vous êtes si jolies mais la barque s’éloigne
Qui donc a fait pleurer les saules riverains
Or des vergers fleuris se figeaient en arrière
Les pétales tombés des cerisiers de mai
Sont les ongles de celle que j’ai tant aimée
Les pétales flétris sont comme ses paupières
Sur le chemin du bord du fleuve lentement
Un ours un singe un chien menés par des tziganes
Suivaient une roulotte traînée par un âne
Tandis que s’éloignait dans les vignes rhénanes
Sur un fifre lointain un air de régiment
Le mai le joli mai a paré les ruines
De lierre de vigne vierge et de rosiers
Le vent du Rhin secoue sur le bord les osiers
Et les roseaux jaseurs et les fleurs nues des vignes
Guillaume Apollinaire, Rhénanes, Alcools, 1913
BIBI le 10 Mai 2023
Benoît, un homme d’action aux multiples facettes.
Petit mangeur, Grande Gueule et Grand buveur, c’est comme cela que tu te
présentais.
Tu as fait de grands écarts dans ta vie professionnelle. Du Social au
Marketing de réseau en passant par Cofiroute.
Tu touchais à tout, toujours avec passion!
Le camping-car ( un fil rouge ), les champignons, la vigne ( pas toujours
bien avisé avec un cubi de pineau d’aunis aux sports d’hiver ), le golf,
la voile, avec MORGANE ( un Sangria ) puis BRIZHILLI ( un Universal
Yacthting 44 pieds, s ‘il vous plait ).
Et les grands voyages, avec toujours du monde autour de toi. Et les bonnes
conserves que tu avais préparé pendant des semaines auparavant!
Puis, la Géologie, l’observation des oiseaux, …
Nous gardons de toi l’esprit de camaraderie, de générosité, de gentillesse,
de disponibilité et d’honnêteté que tu incarnais dans les voyages, les
chantiers , les aventures que nous avons vécus ensemble….
Comme nous tu partageais la passion de la mer, de la nature…
Aussi quel plaisir c’était, de se retrouver une soirée autour d’un bon repas
dont tu avais les secrets.
Riche de toutes ces expériences, nous avions des convictions communes
qui renforçaient notre amitié.
Pour tout cela, il fallait que le corps suive.
Mais ces derniers temps, il en a été autrement.
Toi la grande gueule, le grand coeur, tu nous as quitté ce mercredi dans le
plus grand des silences.
Tu as fait ce choix, fidèle à toi-même, tu n’as pas attendu l’ Ankou, tu l’as
convoqué!
La mer a perdu un Marin, les oiseaux un Admirateur et nous un Ami.
Benoît
Texte des amis (2)
Notre vieux pote a décidé de tirer sa révérence.
Un gars généreux carrément!
Le genre de personne qui vous grandit par ses connaissances, par un réel
savoir. Une mémoire hors norme.
La relation avec Benoît était sans équivoque, tout bon, tout faux, pas de milieu,
un gars entier voire plus…
Bibi, cela faisait presqu’un demi-siècle que nous nous connaissions.
Nous aimerions évoquer des moments qui ont ponctué notre amitié.
Lors d’une soirée de réveillon, la neige est tombée abondamment. C’est la
pleine lune, la luminosité est parfaite, nous décidons avec les amis de prendre
ton trial et les skis de fond direction la forêt. Tu nous tractes dans les allées.
Quel bonheur éphémère, Quelle joie du moment partagé. Avec toi, nous
étions tous de grands gamins.
L’Ecosse, Brizhilli ancré dans une anse de l’île de Egg, magique et
mystérieuse.Seuls au monde, écoutant le chant des phoques et toi si heureux
la tête sous les étoiles, avec ton cigare et ta gougoutte de bonne nuit.
Benoit Le Sucré. Les gâteaux d’anniversaire où il ne fallait pas oublier
de souffler les bougies. Un rituel important pour toi. Ton côté enfantin.
Tu aimais parler. Trop parfois.Tu voulais toujours avoir raison. On n ‘était pas
toujours d’accord.
Passionné. Passionnant. Attachiant
Un fort caractère et aussi une grande sensibilité. Emouvant et touchant.
Une amitié indéfectible.
Nous ne t’oublierons pas Benoît et nous parlerons souvent de toi avec Sylvie et
les amis de toujours.
Le 10 mai 2023
Le 12/05/2023, texte prononcé par Samuel lors de la dispersion des cendres en mer (le 13/05/23) :
Benoît, mon cher Benoît,
Comment trouver les mots pour décrire l’indicible ? Le lien qui nous a relié toutes ces années était indicible.
Tu parlais beaucoup et je parlais peu, je t’écoutais, fasciné.
Un ami de passage m’a fait comprendre un jour que l’amour n’est pas quelque chose qui se dit, mais qui se vit.
Et si toi tu vivais pleinement, moi, à ce moment, je vivais trop peu : je vivais et j’avançais dans la Vie à reculons, car la société humaine me faisait peur.
Mais maintenant, je pense mieux comprendre les raisons qui t’ont amené à prendre la décision que tu as prise.
Alors je te souhaite toute la paix du monde, et toute la douceur et la bienveillance dont tu as besoin pour continuer le chemin qui est le tien. J’ai prié pour toi de tout mon cœur et de tout mon être, de mon mieux. J’ai confiance.
Tu es le premier ami de cœur qui quitte ma vie. C’est pour moi une leçon de vie, qui me fait prendre conscience d’une dimension profonde des liens du cœur.
Tu auras réchauffé mon cœur, tu auras bercé mon enfance avec ta personnalité joyeuse et drôle.
Nous riions beaucoup avec toi, nous étions joyeux, et nous partagions des aventures.
Ces derniers jours en apprenant à mieux te connaître, je me rends compte que nous partagions quelques points communs comme l’amour de la nature, le goût de l’aventure, et l’esprit révolté contre les injustices du monde. C’est peut-être un petit bout de toi qui m’a inspiré, et qui en tout cas continuera de vivre avec moi.
Tous les souvenirs que j’ai de toi sont heureux et me rappellent des moments où je me sentais confiant et l’âme joyeuse.
Je t’ai rencontré quand j’étais enfant, et pour moi, tu serais toujours resté vivant.
J’aurais voulu mieux te connaître, et je le ferai à travers nos mémoires.
Maintenant tu vas partir, et moi je vais rester.
Alors, je dois juste tu dire quelques mots : Je t’aime, merci, et adieu.
De la part de Yann : « J’espère que tu es en paix, merci pour la joie, les histoires et les rires dont je me souviendrai. »
Espace publications des messages de sympathie
Merci Chantal, de m'avoir envoyé çe lien sur mon Bibi i je suis ému par la lecture de ces textes. En mer le week-end prochain Ma première pensée ET le premier apéro ainsi qu'un cigario lui sera dédié
Yann /
Madame, Dans le deuil cruel qui vous atteint, je vous adresse mes très sincères condoléances. A Pouivet
Annick Pouivet /
Bonjour Sylvie, Je pense bien à toi en ce moment. Benoît et Doudou ont été très amis il y a quelques années et je sais que Benoît a beaucoup compté et à été très présent pour mon mari. Dommage, ils se sont fachés et je l'ai beaucoup regretté. Je souhaite que le temps apaise ta peine et espère que tu es bien entourée . Prends bien soin de toi. Je t'embrasse. Catherine
Catherine /
C'est avec beaucoup de peine que j'ai appris le décès de Benoît. Nous avons ces dernières années établi une relation certes professionnelle mais teintée d'affection. Je ne pourrai pas être présente Mercredi mais serai de tout coeur avec vous. Catherine
Catherine Labussière /